LA TEMPÊTE DES UNS FAIT LA GLISSE DES AUTRES

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Blanc, blanc, blanc le goéland ...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si les dieux du vent et de la pluie, Windur et Regenos , veulent bien prêter leur concours, le frangin de la belle-soeur de Christine vient installer son chantier demain. Pour qu'il puisse travailler à l'aise, nous avons vidé deux des trois pièces de la bergerie. Comme notre repas de midi comportait un ceviche copieux, suivi d'une belle saucisse de Morteau sur son lit de lentilles du Lauragais, et quelques sucreries maison pour finir, le démontage des lits, armoires, lave-linge et autres nous a pris un bon morceau de l'après-midi.

Nous ne sommes pas retournés à la plage.

 

Par contre, une "mini-tornade" - whatever this means - a dévasté Maurillas et ensuite Fourques, dans les P.O. : murs abattus, toitures envolées, bouteilles de pastis (le Perthus n'est pas loin) brisées, la désolation.

Ici, les convoyeurs attendent, pour utiliser la formule des "duivenmelkers" (colombophiles) de ma région d'origine. Il semblerait que la dépression ait pris du retard sur sa feuille de route et qu'on verra demain.

 

Les grands voiliers de la mer s'en donnent à coeur joie, albatros et goélands en tout genre planent au ras des vagues.

Et les pipits? 

 

Bon, je vais replonger dans le "garage à musique",

y installer à nouveau mon petit fourbis et me délecter de quelques doux db's.

On rangera tout pour la nuit.

 

 

 

 

Write a comment

Comments: 0