KLIMA

 

 

 

 

 

Hier en début de soirée

 

 

 

 

 

 

 

Nous vivons un début de printemps très bizarre au niveau climatique. Après les pluies des derniers jours sur le Fenouillèdes, s'inscrivant dans les grosses intempéries s'étendant de la côte basque aux Alpes, qui ont cependant épargné le petit bout de frange littorale, mon collaborateur est monté "voir" à Maury. Et il n'a rien vu du tout: les charretières sont impraticables. Je suppose (litote) que les services municipaux vont rapidement remettre en état la voirie publique et nous irons ensuite avec "la lame" (du tracteur) pour refaire les chemins.

 

Par contre, ici à LF, ceux qui jouissent des deux ponts, ou même du viaduc, de l'armistice et de l'Ascension ont eu relativement beau temps. Les moustiques s'en donnent cependant à coeur joie. Je ne sais pas ce que les pouvoirs publics vont pouvoir faire (sorti des insecticides) pour assurer une relative quiétude aux estivants. Et ceci vaut pour tout l'arc méditerranéen.

 

Mon cliché vous montre le petit étang le long du front de mer, puis la Méditerranée elle-même, avec Port-la-Nouvelle en fond d'écran et ... quelques chars à voile si vous avez de bon yeux, ou un bon zoom. C'était hier soir.

Par contre, avant cette escapade, votre Léon s'est alité deux fois, pour la majorité de la matinée, et pour une longue sieste: fièvre, douleurs aux quadriceps, perte d'équilibre, tachycardie angoissante, manque de souffle et nausée tenace. La fée paracétamol a ramené un semblant de calme au palais et ce matin me voit nettement plus alerte. Lorsque ces épisodes me prennent, ils sont de courte durée (< 24 h) et je les mets sur le compte du CMV qui m'habite, mais sans trop de conviction. La peierâ diront certains. Certes, mais pourquoi ces fébricules et ces frissons?

 

Je vous laisse, l'ambassade d'Iran attend une livraison

et je me dépêche avant l'embargo, tellement à la mode*.

 

 

*: vous l'avez saisie au vol, "captée"? 

 

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