OH LE BEAU BUFFET

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ha ja, niewâ, een mooi kerkorgel!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En 1623, le Flamand Guillaume Poncher, facteur d'orgues, est venu passer ses vacances à Béziers. On ne sait s'il avait loué à Valras ou bien à Vendres, mais l'évêque de la Cathédrale Saint-Nazaire lui a passé commande des grandes orgues; ça, c'est sûr. Le travail est terminé dix ans plus tard.

 

En 1679, l'instrument est devenu injouable et un autre technicien, Jean de Joyeuse, pratique une révision générale.

 

En 1759, rebelote et une série de mishaps s'accumule jusqu'à la Révolution.

 

Ce n'est qu'en 1868, après un financement adéquat, qu'on fait appel à la maison Puget de Toulouse qui rend à l'instrument toute sa superbe. Ils ré-interviennent en 1930 et encore en 1960. Ensuite, la Compagnie Languedocienne des Grandes Orgues entretient l'instrument, qui est classé en 1986.

 

Si les détails techniques vous intéressent, lisez ICI.

 

Moi, j'aime le son des orgues d'église et je suis sensible à leur beauté souvent baroque.

Je ne sais si le latin aurait suffi à m'attirer à l'eucharistie.

Mais un petit Te Deum aurait sans doute limité ma tendance à la ... fugue lors de ma catéchisation.

 

 

 

 

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