Le panneau final de mon triptyque
se referme sur l'année 2018.
Il prouve à foison que diurèse et capilarité sont liées. A moins que ce ne soit Prostate et Prosit!
Mon père, qui n'était pas vétérinaire, pissait à qui mieux-mieux, notre bonne tamsulosine aidant. Thierry et moi nous contentions d'en faire le constat. Mais un jour ce fut le contraire et mon frère, qui est vétérinaire, se mit à devoir prendre de la tamsulosine aussi. Moi qui vous parle, j'ai fait jadis une utilisation excessive et peut-être inappropriée de la même glande et patatra, elle s'est confite de calcifications. C'est sans doute très joli sur une échographie mais ne facilite pas la compliance du col vésical. Nonobstant quoi, j'ai également commencé à avaler de la tamsulosine.
Le copain de Dalila perdait sa force tandis qu'on lui coupait la tignasse, s'il faut en croire la légende. Pour Thierry, j'ai pu vérifier que l'air ne vaut pas pour Samson: après un passage chez le coiffeur, sa miction gagna en force et en précision. Je vous en apporte la preuve par l'image: pas une seule goutte rebelle sur la pipe du pantalon, pas une seule retombée sur les baskets.
Ainsi, l'année 2018 se termine sur une note optimiste.
Sic transit gloria pipi.
CELA VA CONTINUER ICI.
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Michel de LACAVE (Monday, 31 December 2018 11:50)
Et dire que ce mur était de pierres sèches... ce n'est désormais plus le cas!